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F.E.A.R.

Écrit le : Mercredi 14 Juin 2006
j'ai testé le FPS FEAR, ce qui veut dire 'first encounter assault recon', mon opinion en deux mots: sai bien!

Avec tous les jeux que je voulais tester, je ne savais plus si celui ci était celui dans le quel on joue quelqu'un qui a des pouvoir psy. P'tet plus loin dans le jeu, mais pour le moment, les mecs qui on des pouvoir psy, je leur tire des balles dans la tête : )

Pour l'histoire, je joue le rôle d'un éclaireur dans l'unité militaire secrète qu'est le fear, chargée d'enquêter les phénomènes paranormaux. Et le jeu commence sur beau spécimen de phénomène: Une société a créé une armée de clones soldats, destinés à être dirigés, par la pensée, par un seul général.

Et là, problème: le général en question pête un câble et active toute son unité. Boum boum, tout le monde est mort dans la boite, et le général s'est barré. Et qui c'est qui doit aller chercher le général? c'est bibi. smiley: sourire

Niveau gameplay, j'ai bien aimé. Encore une fois, en quelques mots: c'est le Half-Life de 2005, ca faisait longtemps que je ne m'était pas autant amusé sur un jeu (surtout depuis les déceptions Oblivion et, dans une moindre mesure, Hitman Blood Money (pas beau mais bien fun)). Le jeu a, en effet, sut reprendre les éléments intéressants des autres jeux, sans passer pour une copie bon marché:

  • Le personnage ne peut porter que trois armes à la fois (réalisme ++), comme dans Manhunt, on n'a plus le héros super balaise qui a, dans son sac à dos, un pistolet, un fusil à pompe, un mp5, un uzi, un lance roquettes, 5 grenades et et et...

  • Le heros peut "ralentir le temps" pendant une courte période: tel le "bullet time" dans max payne, on ralentit un ptit coup, on vise bien dans la tête et hop! ^^

  • Plusieures armes, et notamment plusieures grenades existent: à minuteur, de proximité, télécommandées... associé au fait que les zones de combat sont assez grandes, ce point arrive à créer une liberté stratégique très sympathique, qui m'a rappelé, par moment, le bon vieux Deus Ex.

  • Enfin, niveau ambiance, c'est le même genre d'atmosphère oppressante que l'on trouve dans le vieil hôtel hanté de Vampire: Bloodlines, passage glauque au possible. je n'ai pas encore sursauté, mais j'ai stressé une fois ou deux ^^
manu